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nicole brenez

  • Parution du Cahier Louis-Lumière n°12

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    Parution du Cahier Louis-Lumière n° 12 :
    Arts filmiques et expérimentations
    optiques contemporaines

     

    Sous la direction scientifique de Nicole Brenez, Bidhan Jacobs et Pascal Martin
     
    Le questionnement concernant les expérimentations dans les arts filmiques contemporains nous a conduit à étudier quelques façons de penser et traiter les processus optiques, de la captation à la projection, autrement que selon les principes et normes de formation d’images habituels.
     
    Le présent numéro, issu d’un colloque qui s’est tenu à l’ENS Louis-Lumière les 12 et 13 octobre 2017, propose des contributions à une histoire critique des technologies optiques articulée à une esthétique des arts filmiques. Celles, tout d’abord, qui mettent en évidence l’alternative qui consiste à « Fabriquer ses outils », c’est-à-dire concevoir ceux qui manquent ou échappent au parc technologique actuel, en exploitant l’impensé d’une réflexion technique et scientifique utile aux industries ; se révèlent alors des liens passionnants entre plasticiens inventeurs de leurs propres outils et scientifiques forgeant des instruments.
     
    Ensuite, un ensemble d’interventions d’artistes, techniciens et chercheurs étend la réflexion aux façons d’ « Inventer des pratiques », autrement dit, à la question cruciale de l’appropriation des technologies vue depuis la création de gestes radicaux et d’agencements inédits de techniques.
     
    Enfin, l’expérimentation est saisie plus particulièrement dans ses implications formelles et stylistiques, « Fonder une esthétique », au sens où l’annexion d’outils, leur réagencement et l’invention de pratiques radicales et sensibles déterminent des plasticités et perceptions nouvelles. (Présentation issue de l’éditorial de Nicole Brenez, Bidhan Jacobs, Pascal Martin)
     
    Sommaire

    Avant-propos / Vincent Lowy
    Éditorial / Nicole Brenez, Bidhan Jacobs et Pascal Martin

    I - Fabriquer ses outils
    Archéologie optique : l'objectif au centre du débat / Pascal Martin
    "Le feu de la matière" / Patrick Bokanowski
    La force poétique des images fragiles. Construire une caméra / Jérôme Schlomoff
    Corps-film et geste politique. Les enjeux de la fabrication de l'émulsion-maison / Monise Nicodemos

    II - Inventer ses pratiques
    Entretien avec Éponine Momenceau / Pascal Martin
    Vers l'œil intérieur. Esthétique et "conjoncture technique" / Frédéric Tachou
    "L'alpiniste est un homme qui conduit son corps là où un jour ses yeux ont regardé" : les longues focales de Jacques Perconte / Vincent Sorrel
    Projeter/filmer en déplacement : le réel comme table de montage / Carole Nosella
    L'étalonnage peut-il être un lieu d'expérimentation filmique ? / Bérénice Bonhomme
    Vers l'image claire ? / Christophe Guérin

    III - Fonder une esthétique
    La nuit remue / Cyril Béghin
    Incidence du changement de position de l'observation d'un objet : Parallaxe (2017) de Nominoë / Vincent Deville
     
    Plus d'informations et bon de commande sur le site de l'École

    Contact
    Mehdi Aït-Kacimi, direction du développement et de la communication
    com@ens-louis-lumiere.fr / 01 84 67 00 10

    Ecole nationale supérieure Louis-Lumière
    20 rue Ampère - 93200 Saint-Denis
    com@ens-louis-lumiere.fr

     

     

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  • Cinémathèque française - "Henri Plaat"

    Prochaine projection : "Henri Plaat"

    Cinémathèque française

    51 rue de Bercy 75012 Paris

    Vendredi 25 Mai 2012 - 19h30 -

    Salle Georges Franju

    CINÉMA D'AVANT-GARDE / CONTRE-CULTURE GÉNÉRALE

    Cycle : L'intelligence formelle

     
     

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    Portrait d'Henri Plaat 2008 - Amsterdam.


    Présentation du cycle : L'intelligence formelle

    L’intelligence formelle. Artist by Artist , actualités du Principe d’Apelle


    « Protogène habitait Rhodes ; Apelle, ayant débarqué dans cette ville, fut avide de
    connaître les oeuvres d’un homme qui ne lui était connu que de réputation. Incontinent, il
    se rendit à son atelier ; Protogène était absent, mais une planche de grande dimension
    était préparée sur un chevalet, et il n’y avait là d’autre gardien qu’une vieille femme.
    Celle-ci répondit que Protogène était sorti et, pour le transmettre, demanda le nom du
    visiteur. “Le voici”, dit Apelle et, saisissant un pinceau, il traça avec de la couleur en
    travers de la planche une ligne d’une extrême finesse. Protogène de retour, la vieille lui
    raconta ce qui s’était passé. L’artiste, dit-on, ayant contemplé la délicatesse du trait
    déclara que c’était Apelle qui avait dû venir ; nul autre n’était capable d’un travail aussi
    parfait. Lui-même alors, avec une autre couleur, traça un filet plus mince encore et sortit
    en recommandant à la vieille, si l’étranger revenait, de le lui faire voir et de lui dire :
    “voilà celui que vous demandez”. C’est ce qui arriva, Apelle revint et, rougissant d’être
    surpassé, avec une troisième couleur, il refendit encore les deux lignes par une autre qui
    ne laissait place à rien de plus fin. Protogène, s’avouant vaincu, vola au port à la
    recherche de son hôte. Il voulut que l’on conservât telle quelle pour la postérité cette
    planche destinée à faire l’admiration de tous, et surtout des artistes (sed artificum).
    J’entends dire qu’elle a péri dans le premier incendie qui consuma le palais des Césars
    sur le Palatin. J’ai vu jadis cette planche ; elle ne contenait rien sur sa vaste surface que
    des lignes qui échappaient à la vue au milieu de beaucoup d’ouvrages remarquables. Elle
    paraissait vide, mais par cela même, elle attirait le regard et devint plus célèbre que tout
    autre morceau. »


    Le récit de Pline (Histoire naturelle, Livre XXXV, 81) établit l’archétype de
    plusieurs principes esthétiques dont on constate la constance dans l’histoire de l’art : la
    suprématie de l’absence, l’Aufhebung (dépassement) qui certifie la virtuosité, l’évidence
    réciproque qui règne entre des créateurs de formes découvrant leurs oeuvres respectives et
    se reconnaissant sans avoir besoin de se connaître. C’est pourquoi les observations d’un
    artiste sur les initiatives d’un pair contemporain constituent l’une des sources les plus
    vives pour l’histoire des idées. Pensons à Stendhal alimentant son ”romantisme furieux” à
    la lumière de ses lectures et rencontres avec Byron, à Inuhiko Yomota se levant tôt le
    matin pour écrire parce que Lawrence Durrell un jour lui a demandé, ”combien d’aubes
    as-tu vu dans ta vie ?”, aux textes de Jordan Belson sur son ami Harry Smith, à la lettre
    de Jean-Luc Godard, en novembre 1990, réactivant l’ancien concept de “beauté
    naturelle” pour rendre compte des effets de transparence contemplative produits par les
    films de Philippe Garrel…


    Les présentations ici proposées participent de ce lien si précieux, l’intelligence
    formelle, le principe d’Appelle. Questions de style, enjeux de classe : parfois la
    reconnaissance protège, car bien loin des ors et des privilèges, les artistes souvent
    appartiennent au lumpenprolétariat (Marcel Hanoun), aux marges menaçantes (Otto
    Muehl repris de justice), ou inversement, se mettent au service des êtres les plus fragiles
    et menacés (Jean-Michel Alberola et les paysans japonais). Franchissant les frontières
    générationnelles, géographiques et disciplinaires, le cinéaste américain Richard Kern se
    voit introduit par le cinéaste argentin Gaspar Noé, le peintre et performer autrichien Otto
    Muehl mis en perspective par le compositeur corse Frédéric Acquaviva, le plasticien
    cinéaste Jean-Michel Alberola commenté par la plasticienne vidéaste Marylène Negro. À
    quoi s’ajoutent les observations fixées sous forme audiovisuelle, les ”entrefilms”, pour
    reprendre le terme si judicieusement forgé par l’auteur de Addio Lugano Bella (2000) : la
    suisse-italienne Francesca Solari travaillant avec, pour et sur Marcel Hanoun, le
    photographe et cinéaste Jérôme Schlomoff tressant plusieurs modalités du portrait pour
    réaliser celui du peintre et cinéaste hollandais Henri Plaat, le cinéaste et vampler (“vidéosampler”)
    américain James June Schneider parti sur les traces bretonnes du polonais Jean
    Epstein.


    Nicole Brenez.

     

    INFO Cinémathèque française :

    Henri Plaat / Jérôme Schlomoff, Marcel Hanoun / Francesca Solari : mouvement 1


    Comme d’autres de Lech Kowalski, Mati Diop, Stephen Dwoskin, Catherine Corringer,
    Clarisse Hahn, Abderrahmane Sissako, Taysir Batniji, Christelle Lheureux, João Nisa,
    Jérémy Gravayat, Emmanuelle Demoris, Philippe Parreno, Yervant Giniakian & Angela
    Ricci Lucchi etc, les films de Jérôme Schlomoff, Francesca Solari, Marcel Hanoun et
    James June Schneider ont été soutenus par la Commission Image/Mouvement du CNAP
    au cours de l’exercice 2009-2011. Parallèlement, Image/Mouvement sera fêté par Jacky
    Evrard au Ciné 104 à Pantin.

     
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  • Cinéma du Réel - Exploring Documentary

    Festival Cinéma du Réel / Centre Pompidou - 11 mars 2009, à 21h00

    Exploring Documentary : Désobéissance technique, pratiques insolentes

    Une programmation, de Nicole Brenez, autour des cinéastes vidéastes et plasticiens qui refusent de subordonner leur travail aux parcs de matériel imposés par l’industrie.

    "new york zéro zéro"

    "La palombière"

    "Amsterdam reconstruction"

    NYZZ-AR AFFICHE FILMUSEUM copy.jpg
    images extraites des films sténopés : "new york zéro zéro" & "Amsterdam reconstruction"

    Exploring Documentary
    Caméra sténopé et No Camera


    Je vous recommande particulièrement les deux films d'Anna Abrahams & Jan-Frederik Groot : "Roeien" & "Machin-hoog"


    I O Augustin Gimel 3', France, 1998
    « Il n'est question dans ce fi lm que de lumière, absence de lumière, et du développement dans le temps de ces éléments fondamentaux du cinéma. La simple succession de ces deux états crée une énergétique du mouvement. » (A. G.)
    " In this fi lm, it is just a question of light and the absence of light, and how these fundamental elements of cinema evolve over time. The simple succession of these two states creates an energetics of movement." (A. G.)

    1305 Augustin Gimel 2', France, 2001
    Intensité maximale obtenue par le moyen d'enregistrement le plus modeste, une camera obscura confectionnée à la main.
    Maximal intensity obtained by the simplest means of recording moving images –a hand-made camera obscura.

    La Palombière Jérôme Schlomoff 1', France, 2002
    « Premier film sonore avec une caméra sténopé 35mm en carton. Film tourné dans les couloirs de la palombière de Monsieur Roumégoux dans la forêt du Baillon. Sabres avril 2002. Bruitage et voix : François Bon. » (J. S.)
    " The first sound fi m with a 35mm cardboard pinhole movie camera. Shot in the corridors of Monsieur Roumégoux's wood pigeon trap in Baillon forest. Sabres, April 2002. Sound eff ects and voice: François Bon." (J. S.)

    Roeien Rowing Anna Abrahams, Jan-Frederik Groot 1', Pays-Bas, 2003
    Plans d'un rameur sur une barque, originellement conçu pour être montré en boucle dans une installation.
    Shots of a rower in a boat, initially created to be shown as a loop in an installation.

    new york zéro zéro Jérôme Schlomoff 21', France, 2006
    « Film sur New York et ses environs. Mon regard arpente la ville, j'enquête sur la question : comment habiter la ville aujourd'hui ? » (J. S.)
    " Film on New York and its surroundings. My eye wanders around the city, I investigate the question: how does one inhabit the city today?" (J. S.)

    Amsterdam Reconstruction Jérôme Schlomoff 20', France, 2007
    «Portrait d'Amsterdam à travers la visite des chantiers de reconstruction du cinéma de la Maison Descartes ; le Rijks Museum ; le Stedelijk Museum ; le W139. Cette visite se confronte à une vision poétique des espaces urbains, publics et privés, de la ville et de ses environs.» (J. S.)
    " A portrait of Amsterdam, through a stroll across the building sites where the Maison Descartes fi lm theatre, the Rijks Museum, the Stedelijk Museum, and the W139 are being reconstructed. The visit comes up against a poetic vision of public and private urban spaces, of the city and its neighbourhoods." (J. S.)

    Machin-hoog Machine-Eye Anna Abrahams, Jan-Frederik Groot 12', Pays-Bas, 2000
    « À la poursuite de l'image parfaite du quartier moderne de Bijlmermeer, dans le sud-est d'Amsterdam. Un reportage chronologique qui veut restituer l'esprit de ce groupe d'immeubles en nid d'abeille sur le point d'être détruit.» (A. A., J.-F. G.)
    "The quest for the perfect image of the late modern apartment district the Bijlmermeer in Amsterdam South-East. It is a chronological report on archiving the essence of the honeycomb apartment buildingcomplex being demolished." (A. A., J.-F. G.)

    Degradation #1, X-Ray: Shroud of Security James Schneider 10', France - États-Unis, 2006
    Expérience sur la sensibilité du 16mm aux rayons des portiques aéroportuaires.
    An experiment to test the sensitivity of 16mm fi m to the rays of airport detection gates.

    Mercredi 11, 21h00, C2 + débat Programmation / intervenant(s) :
    suivie d'un débat

    info :

    http://www.centrepompidou.fr/Pompidou/Manifs.nsf/0/13A34FCDE377B181C1257554004781F5?OpenDocument&sessionM=2.4.3&L=1&view=

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  • Projection Cinémathèque Française

     

    Cinémathèque Française - 20 février 2009 à 21h30

    51 rue de Bercy 75012 Paris - Salle Georges Franju

    Programmation Nicole Brenez


    "La douceur dans l'abîme" - Vies & paroles de sans-abri

     

    adam julius ©schlomoff.jpg

    Adam Julius - portrait extrait du film "La douceur dans l'abîme" - Nancy 1999.

     

    "La Palombière"

     

    03 dans la palombière.jpg

    Image extraite du film sténopé "La palombière" - Sabre 2002.

     

    "Amsterdam reconstruction"

     

    amsterdam central station.jpg

    Amsterdam Central Station - Image extraite du film sténopé "Amsterdam reconstruction" - Amsterdam 2005


     

    Séance en présense de Jérôme Schlomoff & Adam Julius. Cette séance juxtapose trois dimensions aussi différentes qu'éblouissantes des travaux du photographe, cinéaste et plasticien Jérôme Schlomoff, dont l'oeuvre se caractérise aussi par quelques constantes : le noir et blanc, le recours au sténopé, une collaboration fidèle avec l'écrivain François Bon et le compositeur Smooth One, l'attention à ce qui dans le monde reste déshérité. Les recherches de Jérôme Schlomoff nouent des liens inédits entre les images du cinéma des premiers temps et les formes les plus contemporaines de l'installation, et ré-envisagent la représentation à partir des racines de l'analogie et de la description. N.B.

    La Douceur dans l'abîme
    de Jérôme Schlomoff et François Bon
    France/1999/52'/vidéo

    La Palombière
    de Jérôme Schlomoff
    France/2002/0'55''/sténopé/35mm

    Amsterdam Reconstruction
    de Jérôme Schlomoff
    France/2007/20'/sténopé/35mm

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    RESERVATION / RENSEIGNEMENT :

    http://www.cinematheque.fr/fr/nosactivites/projections/cy...

     

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  • Prochaines projections à Paris

    Cinémathèque Française - 20 février 2009 à 21h30

    51 rue de Bercy 75012 Paris - Salle Georges Franju

    Programmation Nicole Brenez

    Cette séance juxtapose trois dimensions aussi différentes qu’éblouissantes des travaux du photographe, cinéaste et plasticien Jérôme Schlomoff, dont l’œuvre se caractérise aussi par quelques constantes : le noir et blanc, le recours au sténopé, une collaboration fidèle avec l’écrivain François Bon et le compositeur Smooth One, l’attention à ce qui dans le monde reste déshérité. Les recherches de Jérôme Schlomoff nouent des liens inédits entre les images du cinéma des premiers temps et les formes les plus contemporaines de l’installation, et ré-envisagent la représentation à partir des racines de l’analogie et de la description.

    http://www.cinematheque.fr/fr/nosactivites/projections/cycles-cinema/cycle/manifestation/V9617-jerome-schlomoff.htm

    "La douceur dans l'abîme" - Vies & paroles de sans-abri

    "La Palombière"

    "Amsterdam reconstruction"

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    Forum des Images - 22 février 2009 à 19h00

    Forum des Halles 2, rue du Cinéma 75001 Paris

    Cycle "New York" -  Séance "Courts métrages sur le 11 septembre"

    New York est une source inépuisable d’images et d’histoires en puissance, glorieuses ou tragiques, qui contribuent à l’entretien du mythe d’une ville insaisissable. Toutes les trames et toutes les rencontres, les plus belles comme les plus sombres, y semblent possibles.

    http://www2.forumdesimages.fr/fdi/Cycles/New-York/Courts-metrages-sur-le-11-septembre

    "new york zéro zéro"

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    Festival Cinéma du Réel / Centre Pompidou - 5/15 mars 2009. Date & horaire à venir

    Exploring Documentary : Désobéissance technique, pratiques insolentes

    Une programmation, de Nicole Brenez, autour des cinéastes vidéastes et plasticiens qui refusent de subordonner leur travail aux parcs de matériel imposés par l’industrie. Avec des films de Peter Hutton, Robert Fenz, James June Schneider, Xavier Christiaens, Jerome Schlomoff, Mako Idemitsu, Anna Abrahams & Jan Frederik Groot...

    "new york zéro zéro"

    "La palombière"

    "Amsterdam reconstruction"

     

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